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    Conclusion

    Nous avons vu que la société occidentale était aujourd’hui dictée par un esthétisme poussé à l’extrême, ce qui conduit l’individu à un désir de changement d’apparence. Effectivement de plus en plus de gens sont attirés par la possibilité d’«améliorer » leur physique. Ils deviennent ainsi les cibles du système cosmétique où les chirurgiens se placent parfois plus en tend que vendeurs qu’en temps que médecin. Poussé par l’effet de mode de cette pratique qui se banalise et fait de plus en plus parlé d’elle, les chirurgiens bénéficient d’une publicité générée par les médias, ce qui facilite leurs business.

    Néanmoins, nous avons aussi observé que ces prestations sont coûteuses et non accessible à l’ensemble de la population. C’est pourquoi certains praticiens ont su rebondir sur le phénomène et ont développé un « tourisme esthétique » à l’étranger beaucoup moins onéreux que les tarifs français. En effet, grâce à la création d'un planisphère représentant les différents marchés esthétiques, nous avons vu à travers de nombreux exemple de pays tel que la Tunisie, le Brésil ou encore la Turquie que leurs centres prennent des allures de palaces de vacances avec les séjours « all-inclusive ».

    Il nous semble que nous ne pouvons pas répondre à la problématique de manière précise tout simplement à cause d’un manque de temps. Nous n’avons donc pas pu déterminer dans quelle mesure exactes la chirurgie esthétique peu-t-elle répondre à un besoin chez l’individu. Nous pensons toutefois avoir avancé une réflexion sur le sujet, au travers des différentes parties abordées. 


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